Quand tout semble perdu, la sauvegarde de fichiers est notre dernier recours. Encore faut-il qu’elles aient été bien faites et régulièrement.
La sauvegarde est un process régulier et méticuleux à effectuer. Pour cette raison, des entreprises préfèrent en confier la tâche à un spécialiste externe à la société. Une personne détachée de l’activité d’une société peut apporter un regard plus objectif et sélectif sur les données à préserver et la solution à appliquer.
Il ne s’agit pas de créer un dossier fourretout puis de l’enregistrer sur une clé usb.
3 grandes questions sont à se poser :
Sur quel support vais-je conserver mes données ?
La bonne nouvelle est que 98 % des entreprises disposent d’au moins un outil de sauvegarde*. Mais ce support n’est pas forcément adapté à nos besoins, en termes de capacité, d’accessibilité et sécurité.
Un référent informatique, comme Ostin, aide ses clients à choisir parmi les Serveurs externe et garantit leur bon fonctionnement pour éviter toute défaillance.
Le cloud, cette alternative dématérialisée, offre de nombreux avantages en termes de maintenance et d’accessibilité mais doit également être choisi avec soin parmi les offres privées, publiques ou hybrides.
Quelles données vais-je conserver ?
Nous ne pouvons pas tout garder, ne serait-ce que pour une question budgétaire. Un prestataire extérieur comme Ostin, apporte le recul nécessaire pour séparer l’utile de l’indispensable car trop de données, tue la donnée. Ce tri est essentiel, car fait après la sauvegarde il devient vite contre-productif et dispendieux.
Quel type de sauvegarde dois-je choisir ?
Une fois répondu aux 2 premières questions, cette dernière ne devrait pas prendre trop de temps.
Avant de finaliser le processus de sauvegarde, qui sera amené à se répéter régulièrement, 3 méthodes sont possibles :
• La sauvegarde complète : copie de la totalité de vos données.
• La sauvegarde incrémentielle : copie des fichiers créés ou modifiés depuis la dernière sauvegarde. Cette méthode nécessite moins d’espace de stockage mais plus de temps de restauration contrairement à la différentielle.
• La sauvegarde différentielle : copie complète des fichiers créés ou modifiés depuis la dernière sauvegarde complète.
Sauvegarde de fichiers encore et encore…
« Aïe aïe Justine a supprimé le mauvais dossier… mais heureusement nous disposons d’une sauvegarde… seulement cette sauvegarde date de bien trop longtemps et en la rétablissant beaucoup d’autres modifications seraient perdues. »
Pour éviter cet ascenseur émotionnel il est préférable d’automatiser ses sauvegardes de manière récurrente ou du moins adaptées au rythme de votre productivité.
Dernier point auquel, seul un professionnel peut penser, c’est de s’assurer que les sauvegardes ne rencontrent aucune défaillance et de les tester régulièrement en les copiant dans le système original.
La sauvegarde peut vite s’avérer être un poste à temps complet, que les PME PMI ne peuvent pas toujours attribuer à leurs collaborateurs. S’en remettre à un professionnel comme Ostin permet de rester serein et concentrer sur son métier.
* résultats d’une enquête menée auprès de 374 dirigeants d’entreprises interrogées en janvier 2019, présentée au Forum international de la cybersécurité de Lille (FIC) par la CPME.